jeudi 27 octobre 2011

ARGENT MONOPOLE (blog par google)

http://www.tutellecuratellehorslaloi.fr

4 commentaires:

  1. Depuis 2009, la Justice des Tutelles ne devrait-elle pas intervenir uniquement lorsque les personnes sont atteintes de maladie psychiatrique médicalement constatée par un médecin assermenté ? Pourquoi cette question dérange-t-elle tant ?
    Les émissions sur les tutelles et curatelles ont créé un émoi ? Ont-elles permis une prise de conscience, une amélioration de la situation de personnes encadrées contre leur gré par des associations peu scrupuleuses ou qui ne sont toujours pas à l'écoute des réels besoins de leurs protégés ?
    Le 11 Août 2011, une autre loi est sortie. Une loi qui permet à un maire ou préfet de faire interner des personnes en hôpital psychiatrique sur une simple attestation médicale. Attestation qui peut être remplacée par les dires de 3 personnes représentant la notoriété publique.
    Deux affaires différentes ? Pas vraiment. L'histoire suit son cours "normalement". Il s'agit de très fâcheux concours de circonstances auxquels presque personne ne prête attention.

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  2. Le système de protection juridique est beaucoup plus sournois qu'une personne extérieure pourrait le penser. Les mesures de protection, sous couvert d'aide aux handicapés ou en état de faiblesse passagère, du fait de l'incompétence de la justice à pouvoir superviser des documents comptables, tourne au vol légalisé. Pour s'en sortir, échapper aux méthodes totalitaires des associations, il ne faut pas être faible. Comprenez à quel point c'est contradictoire. Se plaindre et faire appel demandent d'avoir beaucoup de ressources (financière avec l'aide de la famille par exemple - physique car c'est un parcours du combattant). Les seuls réels bénéficiaires de la protection sont les mandatés car cela permet à la justice de sauver la face en tant que protectrice bien attentionnée. Par ailleurs, de part la loi 2007, il faut obligatoirement une maladie psychiatrique mais un simple certificat d'altérations mentales est suffisant. La personne mandatée a aussi son mot à dire quant à la mainlevée. Ce n'est, en général, pas son intérêt de perdre un client. De plus, il faut trouver un médecin assermenté qui n'accepte pas d'être influencé par la personne mandatée. Il faut savoir que tout dérapage et tout acte illégal par désaccord avec la charte peut-être, à posteriori, couvert par la justice. Oui, il n'y a pas d'autres solutions que de bâcler et de laisser faire dans un contexte, je le rappelle, ce qui est un comble, d'aide à la personne. Sous mesure, il est impossible de trouver d'aide véritable. Les administrations restent muettes. Les victimes sont abandonnées au bon vouloir des associations. Il s'agit donc d'une méthode abusive de mise en échec social avec la stigmatisation que cela entraîne.

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  3. Il est à remarquer, surtout depuis la loi 2007, que les personnes sous mesures juridiques sont systématiquement sous évaluées par le regard que porte la société sur leur différence.
    On peut alors dire qu’il y a stigmatisation, phénomène qui vient amplifier les effets négatifs liés à un handicap initial durable ou pas.
    La stigmatisation intervient dans tous les aspects de la vie de la personne et vient s’ajouter à la souffrance strictement liée au handicap et aux limitations objectives qui en découlent. La personne handicapée et/ou handicapée sociale sera généralement perçue comme occupant une position inférieure. En ce sens, on peut parler d’effet amplificateur par la mise sous protection.
    Cela peut se traduire, dans la vie de tous les jours, par divers types de réaction tel un repli sur soi en choisissant de ne côtoyer que des personnes ayant un handicap similaire ou à l’inverse en adoptant une attitude plus agressive voire provocante.
    Il s'agit d'un processus de catégorisation sociale qui est à l’oeuvre avec un principe de visibilité qui fait que les personnes « hors normes » attirent plus l’attention que les autres. Quel que soit le handicap, la personne handicapée est chaque jour confrontée à sa différence.
    Il faut donc s’interroger sur la façon dont les « stigmatisés » et les « normaux » se perçoivent mutuellement.

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  4. Ma mère viens de décéder. Donc je suis en cours de succession. Hors au plus mauvais moment, cad pendant le deuil de ma mère suivant son décès, la psychiatre Mme GaXXXt du CMP Palaiseau m' ordonne sans donner aucune information sur ce genre de mesure que je sois mis sous curatelle et Rendez vous le plus rapide possible avec l' assistante sociale du CMP de Palaiseau Mme KoXXXXi. Hors ils veulent me mettre sous curatelle , , me racontent n' importe quoi pour me faire signer le plus vite possible , ainsi que Mme Ko ( le RDV pour me poser des questions et signer n' a durer que à peine 15 minutes, d' ailleurs elle a été choquée que je ne réponde pas comme ce qui a été prévue aux questions qu' elle pose , en fait cela se voyait comme le nez sur la figure que cela ne correspondait pas comme cela a été préméditée). Totalement naif, j' ai été étonné des réactions de l'assistance sociale. Hors , ils m' ont donner aucune informations en quoi cela consistait une protection juridique. Je me suis renseigné plus tard . Donc , cette mesure est totalement abusive et elle peut compromettre mon avenir du point de tels mesures dans mon cas , ce qui serait une mort sociale dans mon cas. Donc , maintenant, je fais mon possible pour ne pas être victime de cette mesure .Par exemple , j' avais demandé l' intérêt de cette mesure lors du Rendez Vous avec Mme KXXXXi, elle me répond que c' est pour ne pas se faire voler! Et l' infirmère MXXXa me prends pour un demeuré et me dit que c' est pour que mon frère ne me volent 100000 euros!

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